Les faeries sont des êtres vivants qui sont une étape, un changement de conscience, au delà de l'humanité. Ce
sont également celles qui, par l'éventail des êtres spirituels décrits dans les traditions, la magie, la religion et les contes , sont les plus proches des humains. Une fois que nous faisons
ce changement de conscience, toute notre perception des autres créatures vivantes en est modifiée. Habituellement le changement est subtile, mais il peut être soudain et puissant. Certaines
techniques de la tradition faery antique, comme celles entreprises par les devins et guérisseurs qui travaillent dans la traditon folklorique avec des alliées faeries, apportent de tels
changements dynamiques.
Le rapport entre les faeries et les êtres humains est décrit de diverses manières dans la tradition ou le folklore, et a été encapsulé dans divers textes au cours des siècles. Ces écrits sont conformes, nous pouvons voir un lien étroit entre les récits écrits et les croyances populairee ou folklore encore actifs et tous sans rapports avec les récits historiques (dans le sens qu'ils n'ont pas pu dériver d'eux). Quand nous regardons ces récits et le folklore de Grande-Bretagne et d'Europe au 20ème siècle, nous trouvons un autre aspect conforme : les faeries des contes et des croyances traditionnelles sont différents de celles des divertissements.
Les images comercialisées de petits êtres en robes très légères, dérivent principalement d'idées du 19ème de siècle, et ne font pas partie de la tradition faery vivante. Quand des groupes et ou des individus modernes travaillent avec la tradition en termes de vision, contact, et transformation intérieure, ils rencontrent rarement la fée Clochette. En effet, beaucoup des êtres rencontrés sont de taille humaine ou plus grands... parfois beaucoup plus grand.
Le fait de diminuer et rendre insignifiant est un réflet de quelque chose dans la conscience de la culture occidentale, parce que il démontre notre éloignement, notre rejet du sacré subtile des êtres vivants. Ca a commencé par la propagande de la religion d'Etat, dans laquelle les déités plus anciennes ont été réduites pour être soit des être diaboliques ou sans aucun intéret. Ce thème a imprégné le folklore, en particulier quand les gens de la campagne décrivaient des êtres faeries aux ecclésiastiques ou aux classes aisées. C'est une idée antique, retrouvée au moins depuis l'époque de la Grèce classique, que les êtres les plus puissants sont rendus intentionnellement insignifiant et même ridicules . C'est bien attesté dans tradition celtique, dans des textes précoces où les Dieux et les Déesses sont décrits dans un style moqueur. Plus tard nous le trouvons dans la superstition gaélique, où le "petit peuple" est tout sauf petit. On retrouve cette approche dans beaucoup de cultures avec les noms, surnoms, et noms d'arrivée en âge adulte. L'exemple le plus frappant est celui des hommes forts et imposants appelés "petit". Cette idée, qui consiste à appeler intentionnelement petit ou faible ce qui est puissant a peu à peu formé la fée des divertissements (et non la faery...).
The living world of Faery ~ R. J. Stewert
Le rapport entre les faeries et les êtres humains est décrit de diverses manières dans la tradition ou le folklore, et a été encapsulé dans divers textes au cours des siècles. Ces écrits sont conformes, nous pouvons voir un lien étroit entre les récits écrits et les croyances populairee ou folklore encore actifs et tous sans rapports avec les récits historiques (dans le sens qu'ils n'ont pas pu dériver d'eux). Quand nous regardons ces récits et le folklore de Grande-Bretagne et d'Europe au 20ème siècle, nous trouvons un autre aspect conforme : les faeries des contes et des croyances traditionnelles sont différents de celles des divertissements.
Les images comercialisées de petits êtres en robes très légères, dérivent principalement d'idées du 19ème de siècle, et ne font pas partie de la tradition faery vivante. Quand des groupes et ou des individus modernes travaillent avec la tradition en termes de vision, contact, et transformation intérieure, ils rencontrent rarement la fée Clochette. En effet, beaucoup des êtres rencontrés sont de taille humaine ou plus grands... parfois beaucoup plus grand.
Le fait de diminuer et rendre insignifiant est un réflet de quelque chose dans la conscience de la culture occidentale, parce que il démontre notre éloignement, notre rejet du sacré subtile des êtres vivants. Ca a commencé par la propagande de la religion d'Etat, dans laquelle les déités plus anciennes ont été réduites pour être soit des être diaboliques ou sans aucun intéret. Ce thème a imprégné le folklore, en particulier quand les gens de la campagne décrivaient des êtres faeries aux ecclésiastiques ou aux classes aisées. C'est une idée antique, retrouvée au moins depuis l'époque de la Grèce classique, que les êtres les plus puissants sont rendus intentionnellement insignifiant et même ridicules . C'est bien attesté dans tradition celtique, dans des textes précoces où les Dieux et les Déesses sont décrits dans un style moqueur. Plus tard nous le trouvons dans la superstition gaélique, où le "petit peuple" est tout sauf petit. On retrouve cette approche dans beaucoup de cultures avec les noms, surnoms, et noms d'arrivée en âge adulte. L'exemple le plus frappant est celui des hommes forts et imposants appelés "petit". Cette idée, qui consiste à appeler intentionnelement petit ou faible ce qui est puissant a peu à peu formé la fée des divertissements (et non la faery...).
The living world of Faery ~ R. J. Stewert